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Conçu par Trotec, ce modèle TAC V+ soumet son filtre HEPA H14 à une technologie de décontamination thermique qui le chauffe à 100°C à intervalles réguliers.
Pour aider les entreprises et les collectivités à lutter contre la crise sanitaire, le fabricant allemand Trotec propose TAC V+, une gamme de purificateurs d’air mobiles. Ces appareils nouvelle génération sont équipés du filtre HEPA H14 certifié selon la norme DIN EN 1822 qui garantit son efficacité. Autre particularité, ces purificateurs embarquent une technologie de décontamination thermique du filtre pour réduire encore plus le risque d’infection.
Ce purificateur d’air mobile est doté d’une technologie de traitement thermique de son filtre HEPA H14.
© Trotec
Un filtre reconnu pour son efficacité
Pour être efficaces, les purificateurs doivent avant tout être équipés du bon filtre, à savoir un filtre HEPA de catégorie H13 ou H14. À l’instar du TAC V+. Ce purificateur fonctionne grâce à un filtre HEPA H14. « Il faut savoir qu’un appareil équipé d’un filtre E10 a un taux de rétention d’à peine 85 % : cela peut sembler beaucoup, mais en réalité cela signifie qu’il va laisser échapper 15 000 particules sur 100 000 aspirées… Alors que le filtre H14 a un taux de rétention de 99,995 % soit seulement 5 particules libérées » indique Trotec.
Une technologie de traitement du filtre
En complément, le fabricant a développé une technologie pour garantir l’efficacité et la longévité du filtre lui-même. « Nos appareils TAC V+ vont encore plus loin en associant ce dispositif à un débit d’air adapté et à une technique exclusive de décontamination thermique du filtre. Ils offrent ainsi une protection optimale contre tout risque d’infection » précise le fabricant dans un communiqué.
Un traitement à 100°C
En effet, le filtre HEPA H14 subit régulièrement un traitement thermique qui le chauffe à plus de 100°C, « ce qui détruit pratiquement tous les virus» ajoute Trotec qui garantit qu’il suffit de quelques minutes pour filtrer 99,95 % des particules d’aérosols chargées de virus et bactéries présentes dans l’air.
Ségolène Kahn
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