Le purificateur d’air Air Origins de JVD combine trois technologies pour neutraliser le virus dans l’air intérieur. À savoir la capture des particules via des Filtres à particules aériennes à haute efficacité (HEPA), la neutralisation et la minéralisation des molécules, via deux technologies distinctes d'oxydation avancées qui découpent la chaîne carbonée des molécules polluantes et contaminantes.
Face à la crise sanitaire, la qualité de l’air intérieur (QAI) s’impose peu à peu comme un enjeu de santé publique. Notamment pour les entreprises qui doivent protéger leurs salariés des risques de contamination à la Covid-19. Outre le renouvellement de l’air, de nombreuses solutions de purification de l’air apparaissent sur le marché. Parmi elles, la gamme Air Origins vient d’être lancée par le fabricant nantais d’équipements d’hôtellerie et de produits d’hygiène JVD. Testée en laboratoire, cette solution de minéralisation garantit une neutralisation des virus, allergènes et polluants. Elle s’adresse aux lieux publics comme les restaurants, les musées, les hôtels ainsi que les entreprises.
Une équipe d’ingénieurs à l’œuvre
« Développée par une équipe d’experts menée par Pierre- Alexandre Niemir-Deveau, docteur en sciences de l’environnement, la solution de purification de l’air Air Origins peut équiper tous les lieux fermés en réduisant notamment les risques d’exposition aux virus », indique l’entreprise. Testée dans des laboratoires indépendants, la technologie de purification respecte la norme NF EN 16846-1 relative aux systèmes de photocatalyse, la norme EN 1822 pour les filtres de traitement de l’air et la norme NF B44-200 pour les épurateurs d’air autonomes.
Trois technologies complémentaires
Pour cela, JVD a développé une technologie de «Smart Mineralisation» protégée par deux brevets. Concrètement, elle associe trois procédés complémentaires : la capture des particules via des Filtres à particules aériennes à haute efficacité (HEPA), la neutralisation et la minéralisation des molécules, « via deux technologies distinctes d’oxydation avancées qui découpent la chaîne carbonée des molécules polluantes et contaminantes, confie aux Echos Thierry Launois, directeur général de JVD. Il en ressort donc un air minéralisé ne contenant que les molécules de CO2, H2O et O2. »
Ségolène Kahn
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