Certaines activités, comme les travaux d’entretien sur la voie publique ou à proximité d’engins motorisés polluants, soumettent les opérateurs à des fumées et gaz d’échappement diesel. Les dégâts de ces émissions de particules fines sur les voies respiratoires n’étant plus à prouver, il est crucial de porter une protection respiratoire adaptée. A cet égard, le fabricant de solutions de santé Dräger Safety commercialise un nouveau demi-masque filtrant anti-particules à usage unique qui combine protection respiratoire et confort d’utilisation.
Protection respiratoire
Baptisé X-plore 1900, ce demi-masque jetable est pourvu d’un matériau filtrant, le CoolSafe, dont la particularité est d’associer un bon pouvoir filtrant à une faible résistance respiratoire. En d’autres termes, il s’agit d’un filtre suffisamment puissant pour bloquer les particules mais pas assez pour obstruer le souffle. Selon le taux de pollution, le masque se décline en trois classes de protection à identifier selon un code couleur jaune (FFP1), orange (FFP2) ou rouge (FFP3).
Deux tailles disponibles
Critères important pour un masque de protection respiratoire, son ergonomie encourage l’artisan ou l’ouvrier à garder son équipement durant toute la période pendant laquelle il est exposé à la pollution. Pour favoriser son port, le masque de Dräger se décline donc dans deux tailles différentes (S et M/L) pouvant convenir à une grande variété de morphologies de visages. Le but étant bien sûr d’obtenir un meilleur ajustement pour empêcher le masque de glisser.
Une soupape respiratoire
En cas d’effort physique soutenu, le souffle devient plus rapide et plus intense. Pour un meilleur confort respiratoire, le masque comprend une version CoolMax dont la soupape permet d’évacuer l’humidité et la chaleur. De même, la conception Smartfold forme une coque englobant le visage. Ce qui procure un plus grand confort tout en répartissant mieux les flux d’air et les points de chaleur dans le masque. Enfin, le modèle a été conçu pour être porté avec une protection oculaire sans que l’utilisateur se sente gêné : les deux éléments coexistent sans glisser et, l’expiration de l’air étant dirigée vers le bas, la buée ne peut se former sur les verres des lunettes.
Ségolène Kahn
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