La start-up Hunting Town a développé un jeu d'évasion (Escape Game) pour favoriser les collaborations intra-entreprises. Mettant en scène des scénarios à énigme dans des musées, ce jeu a pour but de raviver le sentiment d’appartenance (Team Building) des collaborateurs en situation de télétravail.
Avec la démocratisation du télétravail, certaines entreprises peinent à renforcer l’esprit d’équipe. À cet égard, Hunting Town, une start-up bordelaise spécialisée dans les jeux immersifs en extérieur, a créé une solution de renforcement de la cohésion des équipes (Team Building). Il s’agit d’un jeu d’évasion (Escape Game) virtuel dédié aux télétravailleurs en manque de contact avec leurs collègues.
Encourager les collaborations
À travers cette expérience interactive, Hunting Town souhaite encourager la collaboration, la résolution de problèmes et l’esprit d’équipe. Il s’agit d’un jeu immersif où les participants doivent résoudre ensemble des énigmes ancrées dans des lieux et dans un contexte historique emblématiques.
Des aventures dans des musées
« En proposant des Team Buildings en extérieur, des expériences en musée et des aventures virtuelles, nous offrons un éventail d’options pour répondre aux besoins des entreprises, précise Thibaut Giuseppi, fondateur de Hunting Town. J’ai toujours été passionné d’Escape Game et d’énigmes. Mon objectif est de créer les meilleurs scénarios pour permettre aux participants de redécouvrir le patrimoine de manière ludique. »
Découvrir le patrimoine aquitain
Par exemple, le scénario au Musée d’Aquitaine à Bordeaux incarne les joueurs en une équipe d’agents secrets. Ces derniers ont pour mission de protéger l’équilibre de l’espace-temps, menacé par une voleuse de reliques voyageant à travers les époques du musée.
Des sessions bilingues
En bonus, le jeu d’évasion se sert de la technologie Google Street View qui permet aux joueurs d’explorer et de localiser les lieux. Par ailleurs, les sessions sont animées par des maîtres du jeu (Game Masters) bilingues pour que chacun puisse y participer, même les non-francophones.
Ségolène Kahn
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