Développé par Kingston Digital, ce SSD à écran tactile a été conçu pour lutter contre les attaques de type Brute Force et BadUSB. Pour cela, il dispose d’un niveau de cryptage élevé ainsi qu’une gestion sophistiquée des mots de passe.
Pour sécuriser les données des PME, Kingston Digital, spécialisée dans les mémoires vives et les solutions technologiques, dévoile un disque dur externe crypté. Ce SSD externe à écran tactile baptisé IronKey Vault Privacy 80 (VP80ES) bénéficie d’un niveau de sécurité de niveau militaire, avec notamment plusieurs fonctionnalités pour la gestion des mots de passe.
Lutter contre les malwares
Il s’agit du tout premier SSD externe du fabricant, fonctionnant indépendamment du système d’exploitation. Disponible dans les capacités de 480 Go, 960 Go et 1 920 Go, il se prémunit des attaques de type Brute Force et BadUSB. Pour cela, il embarque un micrologiciel signé numériquement pour des utilisateurs ainsi que des dispositifs de cryptage informatique de niveau militaire.
Une option multi-mots de passe
Par ailleurs, le VP80ES propose une gestion sophistiquée des accès avec notamment l’option multi-mots de passe qui permet de définir un administrateur et des utilisateurs mais également des modes PIN/Passphrase et des règles de mot de passe configurables.
Jusqu’à 64 caractères de mot de passe
Grâce à cette fonctionnalité, il est également possible d’activer des options de sécurité étendues avec par exemple un nombre maximal de tentatives de mot de passe partagé, une longueur allant jusqu’à 64 caractères ou encore un délai d’attente automatique pour verrouiller le disque.
Un verrouillage automatique
En cas d’incident, il est possible de restaurer les données grâce au mot de passe Administrateur. De même, si une attaque de type Brute Force survient, le SSD cryptera automatiquement le disque si les mots de passe Administrateur et Utilisateur sont saisis incorrectement 15 fois de suite. À cet égard, un bouton « œil » permet d’afficher la saisie du mot de passe pour réduire le nombre de tentatives de connexion infructueuses.
Ségolène Kahn
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