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Le fabricant Dalmec dévoile un nouveau manipulateur pneumatique à structure modulaire. Ce dernier possède un outil de préhension qui s’adapte au diamètre des charges à soulever.
En matière de lutte contre les TMS dans l’industrie, le fabricant de manipulateurs Dalmec vient de dévoiler un nouveau manipulateur industriel de type Partner Equo dédié à la manutention de fûts en plastique. Muni d’un outil de préhension adapté à pinces en métal, ce dispositif se charge de la prise, du levage et du transfert des fûts en plastique à positionner au-dessus d’une cuve.
Ce manipulateur pneumatique soulève des fûts en plastique de plusieurs centaines de kg.
© Dalmec
Adapté à toutes les applications utilisant des fûts
Il faut savoir que cet outil de préhension sur mesure s’adapte aux différents diamètres des fûts. Il est également capable de renverser la charge à 180° au moyen d’un dispositif pneumatique. En termes d’applications, le manipulateur vise de nombreux secteurs comme l’industrie, la chimie, l’agroalimentaire ou encore le BTP. Par exemple, « pour la préparation des mélanges, le déversement de poudres, de grains, de sels, de liquides ou autres ingrédients », précise le fabricant.
Des charges de 500 kg
Il faut savoir que ce type de charges « peuvent atteindre jusqu’à 400 kg ». De fait, le manipulateur en porte jusqu’à 500 kg. Pour fonctionner, un simple guidage manuel suffit, « ce qui va garantir une grande précision des mouvements appliquée à la charge ». Sachant que « sa structure modulaire a été conçue pour résister aux torsions engendrées par ce type de sollicitation », garantit le fabricant.
Une structure évolutive
Par ailleurs, ces charges peuvent présenter des « contraintes de hauteur disponible sous plafond dans les centrales de pesée », c’est pourquoi le manipulateur possède également une version surbaissée. Autre avantage de la conception modulaire du manipulateur, sa structure évolutive lui permet de changer la forme ou les dimensions du bras terminal pour s’adapter aux différentes configurations des espaces de travail.
Ségolène Kahn
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