Dans un communiqué de l’Elysée, daté du jeudi 26 avril dernier, le gouvernement a fait savoir que l’Etat était disposé à faire un « effort financier supplémentaire » pour sauver les 5 000 emplois et assurer la pérennité de l’activité du groupe en échange d’un « plan d’amélioration de la gestion » de l’entreprise.
Dans l’après-midi du même jour, le cabinet du ministre de l’Industrie Eric Besson a annoncé que le numéro un de la sécurité en France, le suédois Securitas, s’était engagé, avec d’autres entreprises du secteur, à « examiner dès les prochains jours une offre de reprise » de Neo Sécurité. « Des entreprises d’autres secteurs d’activité, ainsi que des fonds d’investissement, ont également présenté des marques d’intérêt », selon le communiqué.
Dans un communiqué de l’Elysée, daté du jeudi 26 avril dernier, le gouvernement a fait savoir que l'Etat était disposé à faire un « effort financier supplémentaire » pour sauver les 5 000 emplois...
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