Pourriez-vous décrire votre cœur de métier ?
Nous assurons la protection des biens et des personnes contre l’incendie dans le monde du travail. Notre développement tourne autour de quatre familles d’activités : la formation, les produits et le matériel de première intervention (essentiellement les extincteurs), les systèmes automatiques et l’installation fixe (détection et extinction automatique, désenfumage) ainsi que les véhicules de lutte contre l’incendie.
Quelle est la particularité de votre entreprise ?
Nous couvrons toute la problématique incendie dans le monde du travail. Nous sommes aussi exclusivement tournés vers un réseau intégré. Cela signifie que nous commercialisons nos produits uniquement aux clients finaux par le biais de 27 agences réparties sur l’ensemble du territoire français. Nous assurons également la maintenance des produits et systèmes installés chez nos clients. Nous assumons ainsi l’entière responsabilité de la conformité réglementaire et normative des installations dont nous avons la charge.
Quel est l’état du marché ?
Ces vingt dernières années, nous avons connu une croissance très forte. Dans les années 90, nous affichions un chiffre d’affaire de 30 millions d’euros En 2013, il culminait à 141 millions d’euros, sans croissance externe. Notre socle de confiance est important puisque nous intervenons auprès de 60.000 entreprises clientes.
Sur quels marchés intervenez-vous ?
Nous réalisons 15% de notre chiffre d’affaires à l’export, historiquement dans des régions à prédominances pétrolières : Afrique francophone et Moyen-Orient. Nous renforçons également notre présence en Europe. Notre objectif est de nous positionner sur le marché allemand où nous venons d’ouvrir une filiale. Nous connaissons là-bas un fort succès auprès de grandes organisations comme l’entreprise chimique BASF et l’aéroport de Francfort.
Sur quels produits travaillez-vous en ce moment ?
Nous réfléchissons à la problématique de l’extinction par brouillard d’eau, technique qui présente l’avantage d’économiser cette matière et qui pourrait se substituer à l’extinction par le gaz ou aux sprinklers.
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