Fermetures anti-panique : concilier sécurité et hygiène

Partager :

Le fabricant Iseo vient de mettre au point une gamme de poignées de portes anti-panique qui bénéficient d’un traitement aux ions d’argent capables de neutraliser les microbes et les bactéries.

Ces nouvelles barres anti-panique bénéficient d’un traitement capable de neutraliser jusqu’à 600 types de germes infectieux. © Iseo

C’est bien connu, les poignées de porte que nous touchons quotidiennement sont de véritables nids à microbes. Dans le cas des barres anti-paniques, notamment dans les hôpitaux, qui présentent des risques élevés de contamination bactériologique, cette concentration atteint des proportions inimaginables : salmonelles, légionelles, listerias… Pour que la sécurité rime avec hygiène au travail, le fabricant de solutions de sécurité Iseo a créé une nouvelle gamme de barres anti-panique soumises à un traitement antibactérien. 

Une invention pour les bâtiments de santé

Baptisée Endurance, cette gamme a été présentée à l’occasion du dernier Salon des maires qui s’est tenu du 24 au 26 novembre dernier à la Porte de Versailles à Paris. Elle s’adresse en général, aux établissements recevant du public (ERP) soumis à une activité microbienne importante, comme par exemple les gymnases, les piscines, les écoles, les crèches… et surtout les hôpitaux, les laboratoires pharmaceutiques ou anatomocytopathologiques, les cliniques et les maisons de retraite. 

Un traitement aux ions d’argent

Il s’agit de couvrir les barres anti-panique d’un traitement anti-bactérien inspiré de la fabrication des pansements qui exploite les propriétés des ions d’argent. Selon Iseo, ces ions sont capables de bloquer les processus de nutrition et de reproduction d’au moins 600 types de micro-organismes, comme les germes, les bactéries et les virus. Avec une réduction de 99% du risque de contamination.

Compatibles avec un système de contrôle d’accès

Disponibles en versions « push » et « barre », ces fermetures anti-panique sont pourvues de sont pênes en acier inoxydable et de systèmes autobloquants contre les tentatives d’effraction. Outre leur résistance à la corrosion, par exemple, en cas de conditions météorologiques difficiles, ces modèles sont également compatibles avec un contrôle d’accès électronique.

Ségolène Kahn