Le fabricant Dynaco vient de configurer deux portes sectionnelles sécurisées qui s’ouvrent par glissement vertical vers le haut. Le premier modèle, Panel, se constitue de panneaux tandis que le second, Frame, intègre un vitrage.
Pour lutter contre les effractions dans les bâtiments industriels et commerciaux, le fabricant Dynaco a mis au point deux portes sectionnelles sécurisées. Stable et robuste, la porte Panel se constitue de panneaux renforcés pour sécuriser les intérieurs tandis que la porte Frame se destine à des usages plus esthétiques, avec la possibilité d’insérer des vitres dans les cadres pour laisser passer la lumière.
Une ouverture par glissement vertical
En ce qui concerne la porte sectionnelle industrielle Panel, celle-ci se constitue de panneaux isolés conçus sans pont thermique pour réduire les coûts énergétiques. Elle bénéficie de plusieurs options de configuration qui facilitent son installation dans n’importe quel environnement. Elle s’ouvre à la verticale, par glissement des panneaux sous le toit, pour une ouverture totale de la porte. Pratique pour faire passer des engins volumineux.
Un modèle vitré
Quant à la porte Frame à ouverture également par glissement vertical, elle se constitue de profilés en aluminium remplis de vitrage acrylique de 2,5 mm d’épaisseur. De quoi laisser passer la lumière, par exemple dans les ateliers qui nécessitent un éclairage naturel.
Un dispositif de sécurité
Côté sécurité, les deux modèles bénéficient d’un système d’équilibrage qui permet de soutenir des charges importantes. Ainsi un dispositif de sécurité a été inséré pour bloquer le mouvement descendant de la porte et donc empêcher que les panneaux ne tombent inopinément. De plus, la répartition de la charge sur les panneaux de ces portes réduit le risque de délamination et de fissure du panneau, pour une plus grande pérennité du modèle.
Des modèles certifiés
Compatibles avec tout type de bâtiment, les deux solutions répondent aux exigences de sécurité des directives et normes européennes du Comité européen de normalisation (CEN).
Ségolène Kahn
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