CDVI, le spécialiste des solutions de contrôle d’accès, enrichit son portefeuille de solutions avec deux nouveaux modèles à destination des sites de taille moyenne, tels que les hôtels, bureaux, cabinets ou encore les petits commerces. L’objectif étant de sécuriser et faciliter la gestion des accès, sans nécessiter de compétence particulière pour leur installation et leur maintenance.
Un lecteur pour 300 utilisateurs
Le lecteur autonome Star1m est ainsi capable de gérer jusqu’à 300 utilisateurs. Chaque utilisateur dispose d’un badge Metal à insérer dans le lecteur, dont le fabricant assure qu’il est garanti à vie. Une fois le badge authentifié, le lecteur émet un signal sonore et lumineux et autorise le passage. Côté programmation, il suffit de scanner le badge devant le lecteur pour ordonner son enregistrement ou retirer son autorisation. En termes de performance, ce lecteur précâblé embarque la technologie Mifare Classic, basée sur une fréquence de 13,56 MHz.
Un appareil compatible
Pour des sites de taille plus importante, ce lecteur est compatible avec les systèmes de contrôle d’accès centralisés Atrium et Centaur du fabricant. De quoi permettre de programmer un plus grand nombre de badges, créer des secteurs, ou encore surveiller les portes en temps réel.
Un lecteur polyvalent
Autre nouveauté, la centrale Solar2r intègre un lecteur autonome tournant grâce à deux technologies : un digicode aux touches sensitives chargées de la programmation et de l’attribution des accès ainsi qu’une électronique sécurisée. Trois modes d’accès sont disponibles pour activer l’ouverture de la porte : via un badge, un code ou un mode combinant les deux. Une fois l’autorisation levée, un signal sonore et lumineux s’active.
Un parc de 1 000 utilisateurs
Ce lecteur comporte, par ailleurs, trois commandes d’activation pour deux portes et une alarme. Sa capacité de mémoire peut prendre en compte jusqu’à 1 000 utilisateurs. Ce modèle convient donc particulièrement à des sites tels que les bâtiments tertiaires ou certaines résidences hôtelières.
Ségolène Kahn
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