La station assise, immobile, est néfaste pour la santé des salariés qui travaillent dans les bureaux. De plus en plus d’employeurs recherchent les moyens d’améliorer l’environnement bureautique de travail, notamment en tentant de promouvoir l’activité physique. Ce qui a mis la puce à l’oreille de la société américaine Ergotron. Laquelle lance sur le marché une nouvelle station de travail assis-debout, la WorkFit-SR. A savoir une station de travail complète capable d’accueillir un écran, voire un double écran, un clavier avec souris et, bien sûr, une large surface de travail. L’astuce d’Ergotron, c’est de combiner ergonomie, santé au travail économie d’espace car son système s’accroche tout simplement à l’arrière du bureau.
Un système adaptable sur n’importe quel bureau
Outre l’esthétique soignée, les points forts de la station WorkFit-SR porte avant tout sur son mât qui accueille l’écran (ou le double écran) et la surface de travail, toute en aluminium sur laquelle on place le clavier et la souris. Tout cet ensemble (écran et table de travail) coulisse verticalement le long du mât afin de passer rapidement et simplement de la station assise à la position debout. Ce système évite de recourir à des mobiliers dotés de deux ou quatre piliers motorisés qui font coulisser de bas en haut (et réciproquement) l’ensemble de la planche de travail supportant l’écran et les périphériques bureautiques. Ce qui permet d’améliorer la santé des salariés au travail sans avoir à changer de mobilier. En outre, deux profondeurs de surface de travail sont proposées : la première est standard avec une distance focale généreuse entre l’utilisateur et l’écran, la seconde est courte pour s’adapter à des zones de travail pouvant se restreindre jusqu’à 60 cm. Autre particularité, la WorkFit-SR offre une flexibilité de configurations qui lui permet de s’ajuster aux employés de plus grande taille. Bien sûr, un câble USB préinstallé facilite la connectivité des périphériques. Par ailleurs, un système interne cache les câbles et leur encombrement.
Erick Haehnsen
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