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Dény Security dévoile un portail web à l’attention de sa clientèle de sites sensibles. Dans cet espace, les gestionnaires pourront se servir d’un organigramme pour gérer l’attribution des clés et leur traçabilité.
Pour sécuriser leurs accès, les sites sensibles doivent gérer un grand nombre de contraintes pour gérer les autorisations d’entrée ainsi que la traçabilité des clés et des visiteurs. Pour faciliter cette gestion, le spécialiste français du contrôle d’accès Dény Security a mis au point Logiclés, un organigramme qui permet de simplifier la gestion des trousseaux de clés.
Cet organigramme est disponible en ligne via le site internet de Dény Security, sur ordinateur et smartphone.
© Dény Security
Un abonnement annuel
Accessible depuis un ordinateur ou un smartphone, cet organigramme se présente sous la forme d’un portail web sécurisé. Disponible sur abonnement annuel, il donne accès aux gestionnaires à un espace sécurisé dans lequel ils peuvent gérer plus simplement leur système de contrôle d’accès.
Gérer la désignation des accès
Au sein de cet espace, l’organigramme permet un certain nombre d’actions. A commencer par la possibilité de « changer les désignations des accès et des passes, d’administrer des habilitations en indiquant les personnes autorisées à commander des passes et des clés et en retrouver l’historique » assure Dény Security qui précise que chaque modification réalisée est ensuite validée en temps réel par son service. « Ce qui permet aux responsables de site de télécharger leur organigramme systématiquement à jour au format Excel ou Acrobat ».
Un bon de retour à respecter
Bien sûr, l’organigramme permet également de gérer les trousseaux et l’attribution des clés aux utilisateurs et visiteurs autorisés. Dans ce cadre, les clés, passes ou télécommandes sont, à la remise, accompagnés d’instructions sur la date de retour souhaitée. Y figure également une fiche de détention ou un bon de remise. Dans le cas où l’utilisateur ne rend pas son accessoire à temps, une alerte est automatiquement notifiée au gestionnaire.
Ségolène Kahn
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