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Grâce à cette plateforme de gestion intelligente des objets connectés, la solution phare d’Azur Drones va pouvoir optimiser sa gestion de flotte de drones autonomes.
Pour augmenter la visibilité des systèmes de surveillance de sites sensibles, Azur Drones va désormais intégrer sa solution Skeyetech à Microsoft Azure. Cette plateforme de cloud computing dispose notamment d’une plateforme de gestion intelligente des appareils connectés, Azure IoT Hub. De quoi booster la gestion de flotte des drones en collectant des données d’exploitation des opérations.
Skeyetech est un drone autonome conçu pour la surveillance des sites industriels sensibles. © Azur Drones
Considérer les drones comme des IoT
Il faut savoir que Skeyetech a pour mission de patrouiller sur les sites sensibles pour des missions de surveillance, d’anti-intrusion et d’inspection. Dans ce contexte, l’objectif d’intégrer sa solution à Azure IoT Hub vise donc à transformer les drones en objets connectés. « Comme en témoigne l’implication de longue date d’Azur Drones dans le programme Microsoft for Startups, nous sommes persuadés que la robotique aérienne convient à l’IoT et aux services basés sur le cloud », estime Nicolas Billecocq, directeur général d’Azur Drones.
Des rapports opérationnels
Grâce à cette intégration, Skeyetech va bénéficier de plusieurs avantages. Ainsi, « après chaque mission, la télémétrie des vols est automatiquement téléchargée et analysée dans Azure pour générer des rapports opérationnels et permettre la maintenance prédictive des drones », le fabricant.
Booster la détection d’incident
Cette nouvelle solution de gestion de flotte de drones va également faciliter les mises à jour logicielles à distance, notamment en cas de besoins spécifiques des industriels. De quoi mieux exploiter les données collectées par les capteurs installés sur les drones. Grâce aux outils d’analyse vidéo en direct de la firme américaine, Skeyetech va pouvoir optimiser ses fonctions de détection d’événement comme les intrusions, les objets suspects, les départs de feux, ou les fissures…
Ségolène Kahn
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