Pour stocker, attribuer et surveiller son trousseau, Dény Security dévoile une nouvelle armoire électronique. Connectée au logiciel de gestion des droits d’accès, elle permet de savoir lorsqu’une clé n’est pas rendue à temps.
Attribution des droits et traçabilité des trousseaux font partie des enjeux majeurs de la gestion des accès. Un besoin bien compris par Dény Security, le spécialiste du contrôle d’accès. L’entreprise a mis au point une solution de gestion des clés. Laquelle consiste en une gamme d’armoires électroniques, KBox, pour stocker et sécuriser les clés.
Jusqu’à 120 clés stockées
Concrètement, cette armoire présente une capacité modulaire de 10 à 120 clés selon le volume du trousseau. De fait, elle a été conçue pour les bâtiments tertiaires, les collectivités locales, les hôpitaux ou les petits sites industriels.
Un boîtier de rangement en prime
Outre les clés électroniques, l’armoire contient aussi un boîtier de rangement métallique. Ce dernier convient également à la gestion de smartphones, GPS ou encore de flotte automobile.
Une ouverture sécurisée
Côté sécurité, une solide porte en acier garde les clés à l’abri de toute effraction. Son ouverture s’active par un système d’identification multiple par code, badge ou double. Une fois l’accès autorisé, un voyant lumineux indique la clé attribuée.
Un historique des clés
Pour faciliter la gestion des droits d’accès, l’armoire contient un historique de l’ensemble des informations de prêt. L’accès à la base de données s’effectue grâce à un logiciel de gestion intégré.
Suivi et gestion de parc
Ce dernier se charge de la gestion de l’attribution des clés. Par exemple, il permet d’ajouter une nouvelle clé, ou encore d’en programmer la plage horaire. Ce logiciel se charge également de divulguer toutes les informations utiles au suivi et à la gestion du parc.
Une alarme automatique
En cas d’incident, par exemple si une clé n’est pas restituée à temps, une alarme se déclenche. Le système alerte alors immédiatement le responsable de la sécurité sur son ordinateur, et sur l’écran de l’armoire.
Ségolène Kahn
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