Gérer les risques
Aujourd'hui et demain

Risques industriels et environnementaux

Etablissements scolaires: des moyens accrus pour face à l’évolution des risques

Les collectivités locales consacrent une part croissante de leur budget « enseignement » à la sécurisation des établissements scolaires relevant de leur compétence. Si la protection contre l’incendie reste l’un des principaux postes d’investissement, la vidéosurveillance et les dispositifs anti – intrusion se généralisent...

Visuel : En milieu scolaire, les caméras de vidoésurveillance sont particumièrement vulnérables d’où la nécessité de les implanter en hauteur et de privilégier fiabilité et robustesse – Econe Newport
Dans un contexte troublé par la multiplication des actes d’incivilités, des violences entre élèves et des agressions commises à l’encontre les professeurs, le monde de l’éducation est confronté à de nouvelles menaces. Jusque là cantonné aux installations de protection et de lutte contre l’incendie, les besoins des chefs d’établissement évoluent, de fait, au gré des difficultés rencontrées. Incivilités, délinquance, actes de malveillance sont en augmentation sensible ces dernières années, que ce soit aux abords immédiats ou à l’intérieur des établissements. Une situation qui aboutit à un renforcement significatif de la sécurité à l’image de ce qui a déjà été entrepris dans d’autres pays. Aux Etats – Unis, des évènements tragiques tels que le massacre du lycée de Columbine (1999), dans le Colorado, où deux élèves avaient abattu quatorze de leurs camarades ainsi qu’un enseignant avaient en effet conduits les autorités à envisager le déploiement de moyens accrus. Les détecteurs de métaux ont fait leur apparition à l’entrée des écoles, des forces de police sont désormais implantées à l’intérieur des établissements avec sessions d’entraînement aux prises d’otages. Au total, plus de 40 % des établissements nord – américain utilisent aujourd’hui les détecteurs de métaux, 65% emploient des agents de sécurité et le gouvernement fédéral a procédé au recrutement de 6 000 policiers scolaires. En France, si ce type d’installations (portiques de détection des métaux) n’a pas encore fait son entrée dans les établissements scolaires, la vidéo – surveillance fait quant à elle partie intégrante de l’arsenal déployé. Des caméras sont installées dans les collèges et lycées mais aussi dans les universités. Plus de vingt ans après son apparition dans les établissements scolaires des Hauts-de-Seine, la vidéosurveillance est largement répandue dans ce département pionnier où la quasi-totalité des établissements est aujourd’hui équipé.

Dissuader et contrôler

Selon une étude réalisée par l’association Éducation formation, les collectivités territoriales, qui financent ces systèmes, débloquent de plus en plus facilement des crédits pour ce genre d’équipement. C’est le cas en Languedoc-Roussillon avec un important programme de construction et de réhabilitation de collèges et de lycées, dans les Alpes-Maritimes ou encore en Seine-Saint-Denis, un département dans lequel la région Île-de-France concentre une part importante de ses investissements. Autre exemple, celui du collège des Champs – Plaisants à Sens dans l’Yonne où pas moins de 23 caméras observent les élèves, à l’intérieur et à l’extérieur de l’établissement, avec des résultats tangibles : zéro dégradations dans les parties surveillées et disparition des bagarres entre élèves. En l’espèce, la principale préoccupation des chefs d’établissement consiste à protéger les points d’entrées sensibles ainsi que les parties communes (couloirs ou cours de récréation). Les chefs d’établissements espèrent ainsi faire diminuer le vandalisme et la violence entre élèves grâce au rôle dissuasif joué par les caméras. Une autre enquête réalisée par l’Institut d’Aménagement et d’urbanisme de la Région Île de France (IAURIF) et relative « à la vidéosurveillance dans les lycées d’Île de France » publiée en 2007 révélait ainsi que sur 469 établissements régionaux, plus de la moitié étaient équipés d’un tel système (58,9%) soit 281 lycées dont près d’un dixième recensant plus de 20 caméras. En charge de la compétence « Lycée », le Conseil régional s’est en effet lancé dans une politique de sécurisation des établissements placés sous sa responsabilité, avec le souci d’assurer la paix et la tranquillité des enseignants et des élèves. La vidéosurveillance s’est donc généralisée de même que d’autres équipements techniques tels que les portails automatiques, les dispositifs de contrôle d’accès, les clôtures de sécurité, les vitres anti – effraction, les alarmes anti – intrusion ou les parkings sécurisés. Plus globalement, le budget alloué aux investissements de sécurité, un quart du poste enseignement dans certaines régions comme l’île de France, de 15 à 20% en moyenne partout ailleurs, est en progression régulière. Y sont inclus les systèmes de détection, de mise en sécurité incendie et les dispositifs d’alarmes et de désenfumage. Des investissements supportés par l’ensemble des collectivités concernées : communes pour la gestion des crèches et des écoles, conseils généraux pour celle des collèges, régions pour les lycées et Etat pour les établissements d’enseignement supérieur. Et avec près de 70000 établissements d’enseignement (écoles, collèges, lycées, universités) accueillant 15 millions d’élèves et d’étudiants et plus d’un million d’enseignants et de personnels administratifs, c’est près d’un cinquième de la population qui fréquente quotidiennement écoles, collèges, lycées, écoles supérieurs ou universités.

S’adapter à des configurations et des univers spécifiques

Pour les principaux opérateurs actifs sur ce marché, l’objectif premier réside dans la capacité de proposer des solutions parfaitement adaptables à cette catégorie d’établissements. La présence d’un public jeune, de locaux souvent mal éclairés ou les problèmes de câblage constituent les principales contraintes auxquelles ces derniers doivent pouvoir répondre à travers la mise en place de dispositifs très spécifiques. Exemples :

Chubb Sécurité
Pour répondre aux besoins spécifiques des établissements scolaires, Chubb Sécurité met à la disposition des gestionnaires des SSI « fiable, robuste et évolutif permettant une gestion multiposte ». Avec une gamme très étendue d’Equipements de Contrôles et de Signalisation (de 2 à 240 zones de détection), de reports et répétiteurs d’information, de supervision, le fabricant dispose d’un matériel adapté aux exploitants et parfaitement approprié aux risques. La mise en sécurité et les besoins sont propres à chaque établissement et à son environnement. Dans le domaine de la sûreté et de la lutte contre les actes de malveillance, Chubb Sécurité offre une gamme de solutions en vidéosurveillance, contrôle d’accès et détection d’intrusion pour une couverture de l’ensemble des risques. « Dans le cas d’un établissement standard où la principale préoccupation repose sur la mise en sécurité des accès, accès fournisseurs (risque d’accident pour les élèves ou le personnel), entrée principale (manque de visibilité pour le gardien de sa loge), salles informatiques, abris de vélo (risque de dégradation), nous proposons un contrôle basé sur des solutions vidéo couplées à du contrôle d’accès permettant une levée de doute immédiate. Dans le cas d’établissements sujets à l’insécurité (risques d’agressions d’élèves, de professeurs, dégradation de locaux, vols…) la multiplicité des points à surveiller pose le problème du câblage. Le dispositif préconisé s’appuie sur l’utilisation du réseau informatique, avec contrôle des différents points de l’établissement sur la base de scénarios de prévention efficace. Des solutions de transmission d’alarmes associées à une levée de doute vidéo, gérées par les stations de télésurveillance du groupe Chubb, complètent ces solutions » indique-t-on chez le fabricant.
Axis
La gamme 216 FD d’AXIS s’articule autour d’un choix de caméras réseau à dôme fixe pour les intérieurs à risque. Compactes et discrètes, elles se révèlent particulièrement adaptées à la surveillance d’intérieur des écoles mais aussi à celles des banques ou des bureaux. La caméra AXIS 216FD-V est une caméra réseau à dôme fixe discrète, spécialement conçue pour les environnements intérieurs potentiellement exposés au vandalisme. Elle est dotée d’un boîtier plus léger et résistant aux effractions pour une meilleure adaptation à ce type de vidéosurveillance en intérieur. Faciles à installer elles peuvent être montées sur mur ou plafond. La prise en charge simultanée des flux de données vidéo (motion JPEG et MPEG-4) permet d’optimiser à la fois la qualité d’image et l’efficacité de la bande passante. Grâce à la transmission audio bidirectionnelle, les caméras réseau AXIS 216FD et AXIS 216FD-V permettent aux utilisateurs distants non seulement d’observer ce qui se passe, mais également d’entendre les visiteurs ou les intrus et de communiquer avec eux. Les fonctions de gestion d’événements garantissent une utilisation efficace des caméras sur le système vidéo sur IP : détection de mouvement vidéo, la détection audio, alarme de détérioration et mémorisation d’image en cas d’alarme. Les caméras AXIS 212 PTZ/212 PTZ-V ne sont pas des caméras PTZ ordinaires. Ce sont les seules caméras réseau PTZ à proposer une présentation maximale et un effet panoramique/inclinaison/zoom instantané en un clic tout en maintenant une résolution d’image nette. Tout ceci sans pièce mobile donc sans usure ni effort. Un angle de vue de 140° permet d’obtenir une vidéo de l’ensemble de la zone contrôlée. Les caméras PTZ conventionnelles peuvent afficher une partie seulement de l’ensemble de la scène à la fois. Le passage de la vue complète au gros plan est instantané et se fait en un seul clic – sans différé. Les effets de panoramique et d’inclinaison fonctionnent de la même manière. De nombreuses caméras ne peuvent pas proposer une vue d’ensemble avec une résolution nette, ni maintenir la résolution pendant le zoom. Les caméras réseau PTZ AXIS 212, avec un zoom 3x, peuvent offrir en permanence des images nettes. Seules les caméras réseau PTZ AXIS 212 utilisent un objectif grand-angle et un capteur 3 méga pixels pour la fonctionnalité PTZ. Aucune pièce mobile n’est nécessaire par conséquent, pas d’usure ni d’effort. La caméra AXIS 212 PTZ-V est dotée d’un boîtier résistant au vandalisme qui offre une protection efficace contre la violation car aucune pièce ne peut être déplacée. Les caméras AXIS 212 PTZ/212 PTZ-V sont faciles à installer avec une alimentation par Ethernet intégrée et un support de montage mural incliné.
Storvision
« Les établissements scolaires utilisent une part de leurs installations de vidéosurveillance pour permettre l’identification des personnes qui fréquentent l’établissement. Les caméras d’identification doivent ainsi êtres placées à hauteur de personnes et dotées des caractéristiques optiques (sensibilité, angle, etc.) qui permettront une prise d’image nette. Ces caméras d’identifications, plus accessibles en principe que les caméras de surveillance générale sont ainsi fréquemment la cible de dépravations et de vandalisme. La Roburcam est la seule caméra française conçue pour résister à des tentatives réelles de destruction » précise Laurent Ozon, Directeur général de Storvision en insistant sur les principales caractéristiques techniques de la Roburcam : véritable caméra jour/nuit dotée d’un filtre Infra Rouge amovible, capteur CCD Sony double scan 1/3″, résolution (480 / 570 TVL), zoom numérique 3x WDR (Wide Dynamic Range), zone privative, menu OSD, caisson en aluminium massif usiné dans la masse (8mm d’épaisseur), fenêtre de vision en polycarbonate (épaisseur 6mm), film «anti graffiti» sur la vitre, haute résistance aux tentatives d’arrachement et d’enfoncement, grande adaptation aux différentes configurations d’installation. « Les solutions déployées au sein de ces établissements (prises de vue et enregistrement) doivent être configurées selon une base simple avec en premier lieu de bonnes capacités d’identification au niveau des caméras. Ces dernières doivent également offrir de bonnes capacités de robustesse et de solidité compte tenu de leur exposition, souvent au milieu de cours de récréation. Qui plus est, dans certains cas elles vont gêner les « trafics » qui se déroulaient à proximité. De fait, certains éléments cherchent à les détruire. Nous avons pu constater que les caméras installées au sein d’établissements à risque avaient été mises hors service rapidement car inadaptées à ce type d’implantations. Un coup de marteau suffisait à les faire exploser. La présence d’un dispositif anti tag est par ailleurs recommandée pour ces applications en milieu scolaire. Dernier point, l’éclairage : les caméras sont souvent installées dans des couloirs ou des points d’accès peu éclairés. D’où l’importance de pouvoir disposer d’un système de projecteur par Infra Rouge. »

Protection contre les risques d’incendie et de panique : la réglementation en vigueur

L’évacuation des élèves, des enseignants et du personnel administratif est l’un des objectifs prioritaires au sein de cette catégorie d’ERP classé type R. De ce fait, il est essentiel de disposer d’outils permettant de prévenir rapidement les occupants en cas de sinistre et de les guider efficacement en vue de leur bonne évacuation ce qui requiert : système d’alarme, éclairage de sécurité, couloirs dégagés et non encombrés, portes non verrouillées et libres, isolement des locaux de stockage, parfaite connaissance des consignes d’évacuation (trois par an), présence d’un espace de rassemblement à l’extérieur où l’on devra effectuer l’appel des élèves après évacuation. A ces mesures viennent s’ajouter, la présence d’un système de désenfumage, un cloisonnement efficace des circulations (couloirs et escaliers) et une détection automatique d’incendie performante surtout si l’établissement comporte un internat.
L’ensemble du « Règlement de sécurité contre les risques d’incendie et de panique au sein des établissements de type R – Arrêté du 4 juin 1982 modifié » est accessible sur le site de l’Observatoire National de la Sécurité (ONS) du Ministère de l’Education Nationale : cliquez ici

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C’est le nombre d’élèves, apprentis et étudiants que comptait la France en 2007. Ils fréquentaient 67 077 écoles, collèges ou lycées. En France, on a dépensé, cette année-là, en moyenne, 7 160 euros par élève, ou 1920 euros par habitant.

Quelques applications

Lutter contre le vandalisme grâce à la vidéo
Les écoles communales de la ville de Newport se devaient de trouver un moyen de réduire le vandalisme devenu un problème pour de nombreuses écoles de la région. À l’initiative du Newport Community Safety Partnership, le Conseil municipal, la police de Gwent Police et différents partenaires issus du secteur privé dont Axis Communications, décident de mettre sur pied une solution intégrale de surveillance sur IP, permettant de surveiller les zones à risque, comme par exemple les combles en dehors des heures de cours. Des serveurs vidéo AXIS 2400 furent déployés afin d’assurer la diffusion sur le réseau de l’école des images vidéo obtenues par les caméras CCTV. La solution complète permettait l’activation d’alarmes et la transmission des images vidéo 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 vers un centre de contrôle hébergé par le centre civique municipal. La solution a d’ores et déjà permis de réaliser des économies considérables avec une incidence sur les actes de vandalisme qui ont durablement cessé permettant au conseil municipal de réaliser une économie de plus de 6 000 € par an. Les images vidéo transmises au centre de contrôle ont clairement permis d’identifier des individus s’étant livrés à des tentatives d’intrusion, de vandalisme ou à de comportements anti – sociaux. De plus, la solution faisait appel aux capacités de bande passante excédentaires de l’école en dehors des heures de cours, celle-ci ne génère aucun frais supplémentaires.

Identifier les fauteurs de trouble
Le collège anglais de Treviglas (Cornouailles) utilisait jusqu’en 2004 un système de surveillance analogique traditionnel fonctionnant en circuit fermé. Ne correspondant plus aux besoins du chef d’établissement « dans la mesure où il n’était pas évident d’identifier avec certitude les personnes impliquées dans les incidents enregistrés », la direction a opté pour l’acquisition d’un nouveau système capable de produire et de conserver efficacement des images d’une qualité suffisante pour permettre l’identification des individus en cas de délit ou d’atteintes portées aux bâtiments, aux élèves ou au personnel. Le choix s’est porté sur une solution de surveillance sur IP offrant la possibilité d’utiliser le câblage CAT déjà réalisé dans les différents bâtiments du collège. Le déploiement de caméras réseau alimentées par Ethernet permet en outre d’éviter les frais inhérents à l’installation de câbles électriques pour les nouvelles caméras. Deux serveurs vidéo Axis 241 Q reliés à quatre caméras analogiques ont ainsi été installés pour recueillir les images fournies par les caméras analogiques existantes et les relayer sur le réseau. Un dispositif comptant 18 caméras réseau Axis 211 PoE complété par une caméra réseau Axis 2130 PTZ a été déployé sur l’ensemble du site. 27 caméras sont prises en charge par le système Milestone XProtect Enterprise Version 5.0 qui assure le traitement, la sauvegarde et la gestion globale des images vidéo. La caméra réseau AXIS 2130 PTZ, fixée sur une colonne mobile de huit mètres de haut à l’intérieur d’un dôme vitré, permet de filmer la cour de récréation de l’école primaire adjacente, ainsi que les bâtiments du collège et les terrains de sport. Depuis son arrivée, les actes de vandalisme ont diminué de manière importante sur les deux sites. Un serveur Dell équipé de lecteurs SATA de 700 gigabits a été installé pour héberger l’ensemble des images. Les enregistrements vidéo se déclenchent en cas de mouvement, à la fréquence maximale de 25 images par seconde, pour des taux de compression moyens et une résolution d’affichage de 640×480. Les images sont conservées pendant une période de neuf jours, puis archivées pendant 30 jours à la fois sur disques durs et sur un lecteur de bandes magnétiques Sony Ait 3 d’une capacité de 100 Go. Les concierges du collège ont reçu pour mission de rechercher la trace d’éventuels préjudices et de signaler au service informatique les besoins de maintenance, afin d’éviter que la qualité vidéo ne se dégrade au fil du temps. Leur travail s’achève à 22 heures, une agence de gardiennage privée prend alors le relais en assurant des patrouilles toute la nuit.

Sécuriser plusieurs sites universitaires avec une solution de main courante
La Société GIP2 vient de mettre en place au sein d’une université française une solution de main courante informatique destinée à « sécuriser efficacement et à distance plusieurs sites universitaires ». La solution préconisée consiste en une main courante informatique avec, pour chacune d’entre elles, un certain nombre de fonctionnalités requises telles que la gestion des prises et des fins de service (code Pin ou biométrie) et une check list des matériels (réalisée lors de la prise et de la fin des services). Trois modes de saisie sont possibles : standard directement sur la main courante, saisie assistée par ordinateur ou saisie sur formulaire paramétrable. Chaque université étant équipée d’une main courante, le prestataire a également installé un logiciel centralisateur sur un serveur central situé sur une des universités afin de pouvoir connecter l’ensemble des mains courantes et de permettre la remontée d’informations en temps réel. L’administrateur du système peut avoir accès à n’importe quel moment et de n’importe où à l’ensemble des mains courantes. Autres fonctionnalités du serveur : cryptage des bases de données, accès à l’ensemble des mains courantes en temps réel, possibilité d’administration à distance par le biais du serveur central, visualisation à distance des différents mains courantes, affectation des agents et gestion des droits utilisateurs, création, modification et suppression des consignes temporaires à distance, alarme en cas de non prise de service, gestion des plannings par agent…

En savoir plus

Cet article est extrait du Magazine APS n°179 – Mars 2009.
Pour plus d’information sur nos publications, contactez Juliette Bonk .

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